Pour une fois, je ne vais pas vous parler web 2.0, high tech, et geek passion. Juste pour vous signaler l'article de Karine Papillaud paru le 06 mai dans 20 Minutes et intitulé "Des trésors de vieux bouquins" (en page 17). Où l'on y apprend que le marché du livre ancien représente 1 milliard d'euros sur les 44 du marché de l'art mondial, "plus rentable que les actions du Cac 40".
Juste le temps de me souvenir : de cette très vieille édition des Histoires d'Hérodote trouvée chez un bouquiniste de Bourgogne et que je n'ai pas pu m'offrir à l'époque (il y a 17 ans et j'enrage encore) ; des romans de Louis Broomfield qui me faisaient tant rêver adolescente et pour lesquels j'écumais les bouquinistes de Rouen (aujourd'hui remplacés par des magasins plus "mode") ; et de tous ces vieux papiers qui sentent bon la passion.
Bon sur ce, je retourne à mes e-book :-))